...Ci-dessous
des textes sur l'energie venant de différentes
organisations (collectifs de chômeurs et précaires,
syndicats, association de droits de l'homme, associations
de lutte contre l'exclusion etc. Ainsi que des
extraits de presse sur le sujet.Si vous aussi
avez déjà fait des appels, tracts, communiqués
de presse, affiches etc.. vous pouvez nous les
faire parvenir. Nous les mettrons sur cette page
ou les suivantes. Une chose est certaine, pour
gagner, nous devons créer une:
COORDINATION
NATIONALE POUR LE DROIT A L'ENERGIE
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AC!
Rhône :
Hiver
98-99 :
un
début d'accord… Il y a un an, l'action des Collectifs
de Chômeurs et Précaires, soutenue par les salariés
d'EDF, avait permis de stopper les coupures d'électricité
aux plus démunis. La Direction Régionale d'EDF
s'y était engagée, en développant le dialogue
avec les intéressés et la recherche d'une solution
impliquant les organismes d'aide sociale. Le Service
Minimum d'Energie avait été augmenté de 1 000
watts à 3 000 watts. Par contre, aucune avancée
n'avait été obtenue sur une tarification sociale
en faveur des précaires.
…non
respecté : EDF a repris les coupures !
Cette
année, si les chiffres officiels du chômage reculent,
c'est en grande partie à cause du développement
de la précarité des emplois, et donc des conditions
de vie. Le nombre des précaires augmente, et ceux
et celles qui s'y enfoncent ont de plus en plus
de difficultés à faire face aux factures : comment
consacrer 10% de son budget à payer gaz et électricité
quand on n'a que 2 500 F par mois ?
D'autant
que l'aide sociale ne suit pas. La Commission
d'Aide Sociale d'Urgence (CASU) ne fonctionne
pas réellement. Les moyens des organismes d'aides
d'urgence (Maisons du Département, CCAS…) n'ont
pas évolué en fonction des besoins ; à tel point
que désormais l'aide " d'urgence " est contingentée
: à Lyon, pas plus d'une aide par an, et seulement
si vous ne touchez pas plus que le RMI, avec au
minimum un enfant ou si vous avez des factures
impayées ! L'aide d'urgence des ASSEDIC a disparu.
Quant au FAIME (Fonds d'Aide aux Impayés et Maîtrise
d'Energie), alimenté en partie par EDF, il est
épuisé depuis fin avril 99, et n'a pas été réactivé.
Les impayés d'Energie ont donc continué à augmenter.
Dans
ces conditions, il est inadmissible que la seule
" solution " qu'ait trouvé EDF soit de reprendre
l'escalade et l'exécution des menaces : relances,
installation (facturée 242 F !) d'un compteur
à 1 000 watts (à peine de quoi s'éclairer), injonction
de se débrouiller avec des Services Sociaux souvent
impuissants, et finalement coupures. Une dette
de 600 F peut déclencher le processus.
Droit
à l'Energie pour tous, EDF, s'il est encore un
Service Public, doit y contribuer :
Tarif
social pour les précaires : s'il existe quelques
" mauvais payeurs " (les travailleurs sociaux
peuvent les détecter), la très grande majorité
des endettés ne peut pas payer. Les plus démunis
tentent d'éponger une dette (électricité…) en
en augmentant une autre (logement…). Devant l'absence
tragique de moyens d'urgence, les travailleurs
sociaux eux-mêmes encouragent à remplir des dossiers
en fonction du guichet où ils pensent pouvoir
trouver momentanément de l'argent .
Une
vraie solution : l'instauration d'un tarif social
pour les précaires :
Gratuité
et effacement des dettes pour les plus démunis
Accès gratuit au réseau, suppression des abonnements,
tarif réduit en fonction de la précarité des revenus.
Le
" manque à gagner " pour EDF paraît dérisoire
:
EDF
réalise 250 milliard F de chiffre d'affaires annuel.
Faut-il aussi rappeler : qu'EDF a versé, jusqu'en
1996, l'équivalent de 1% de son chiffre d'affaires
annuel (soit de l'ordre de 2 milliards F en 96)
aux anciens actionnaires des compagnies privées
qui ont été nationalisées en 1946 ? pourquoi ne
pas avoir reversé cet argent aux précaires ? qu'EDF
contribue pour 30% (soit 60 millions F) au budget
du FAIME (le Fonds des impayés), le reste étant
fourni par différents guichets d'aide sociale.
EDF récupère ainsi la quasi-totalité de l'argent
dû par les précaires, donc non seulement sa mise
(60 millions F), mais aussi celle de l'aide sociale
(sans parler des frais de coupure), soit au total
plus de 200 millions F !
Et
puis, un Service Public ne doit-il pas participer
à la solidarité nationale ?!
TVA
réduite sur Gaz et Electricité : L'énergie est
un produit de première nécessité. Il est inconcevable
qu'elle puisse être taxée au plus haut niveau
(22%). La preuve en est la baisse récente de l'abonnement
à 5,5%. Pourquoi l'abonnement, et pas la consommation
? Nous réclamons la baisse à 5,5%, voire la suppression,
de la TVA appliquée à l'énergie domestique. Nous
demandons de même la suppression des taxes locales
sur la consommation d'énergie (taxes au bénéfice
des Communes et du Département). L'argent manquant
doit être compensé par une augmentation de la
dotation globale de l'Etat, en particulier en
faveur des Communes pauvres. Suppression des coupures
: Conformément au préambule de notre Constitution,
le droit à l'énergie devrait être un droit fondamental
reconnu comme tel. Son interdiction ne peut être
qu'un ultime recours contre une mauvaise foi et
un comportement anti-social délibérés. En aucun
cas nous ne pouvons admettre qu'une personne soit
privée d'électricité parce qu'elle ne peut pas
momentanément la payer.
Nous
demandons qu'EDF respecte son engagement de l'année
dernière, et arrête la pratique des coupures.
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Si
vous avez des dettes d'électricité, si EDF vous
a imposé un compteur à énergie réduite (1000 watts),
si vous êtes menacés de coupures, si vous avez
été coupés :
CONTACTEZ
NOUS POUR AGIR ENSEMBLE avec l'ensemble des chômeurs
et précaires, auprès de la Direction Régionale
d'EDF
Passez
nous voir à nos permanences : nous organiserons
les actions nécessaires ensemble.
AC!
Rhône : 37 cours de la République à Villeurbanne
04 78 84 38 51
Permanences
mardi de 15h à 20 h.
N°
d'URGENCE en cas de coupure imminente :
06.15.85.09.72 - 04.78.84.38.51
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Octobre
(19) 2000 -
Appel
pour un droit à l'énergie
APPEL
Tels
l’air et l’eau, l’énergie est indispensable à
la vie dans tous ses aspects. On en convient universellement.
C’est pourquoi, elle doit être un droit fondamental
pour chaque individu, celui de disposer tout au
long de son existence des sources d’énergie adéquates.
C’est pourquoi, elle induit aussi un devoir, celui
de la garantir en quantité et en qualité aux générations
futures, avec les moyens techniques les plus efficaces
pour en maîtriser les effets sur l’environnement.
Qu’en
est-il pourtant de ce droit dans le monde au regard
du développement humain, après trois décennies
de déréglementation plus ou moins rapide ou complète,
mais dominante ? Les évolutions énergétiques ont-elles
accompagné positivement les évolutions démographiques,
migratoires, sanitaires, alimentaires, culturelles,
environnementales ? Ont-elles aidé aux coopérations,
à faire reculer la pauvreté, les injustices, les
inégalités, le nombre de conflits et de guerres
dont elles sont une cause majeure ? En relation
avec l’ensemble de ces préoccupations contemporaines,
tous les indicateurs statistiques internationaux
montrent que le droit à l’énergie, avec son effet
moteur pour le développement, n’a pas progressé.
En
cette année 2000, où l’humanité sait qu’elle dispose
des connaissances et des techniques suffisantes
pour satisfaire ses besoins essentiels, on vit
plus mal qu’il y a trente ans dans plus d’une
centaine de pays et deux milliards de personnes
ne disposent toujours que de bois de chauffe pour
unique source d’énergie. Les disparités, les injustices
et les inégalités entre pays riches et pauvres
et dans chacun d’eux se sont considérablement
aggravées. Le développement de quelques-uns ne
peut plus assurer le développement de tous, fusse
de façon inégale. La paix n’y a rien gagné.
Parallèlement
à la mise en place de la déréglementation, on
peut constater géographiquement de façon nette
le développement des replis identitaires, des
intégrismes ethniques et religieux, la multiplication
des conflits et des guerres. Mais au-delà des
données disponibles, un bilan plus complet, social,
économique, politique, éthique, de la déréglementation
reste à faire. C’est la condition pour affronter
des questions qui se posent déjà avec force et
qui sont autant de défis.
A
la lumière de l’expérience, faut-il abandonner
au marché seul – et donc aux sociétés multinationales
– la régulation de l’offre et de la demande énergétique
entre les pays et au plan individuel ? Le rôle
des états, comme expression démocratique des peuples,
ne demeure-t-il pas indispensable pour assurer
l’intérêt général, l’équité, la justice, la solidarité,
particulièrement envers les pays pauvres qui semblent
de fait condamnés par les plus riches à pratiquer
une " sobriété énergétique " irréversible.
La
recherche obsédante du profit maximal dans le
délai le plus court, qui est la règle du marché,
conduit actuellement à l’utilisation abusive du
pétrole, et surtout du gaz, qui sont un patrimoine
épuisable de l’humanité. N’est-il pas temps de
rechercher ensemble des voies nouvelles qui tiennent
compte, dans la transparence, des contraintes
de temps liées nécessairement en matière d’énergie,
aux infrastructures, à la production, à la consommation,
au respect de notre planète, pour mieux appréhender
les évolutions prévisibles des besoins ?
Par
ailleurs, aucune filière énergétique n’étant susceptible
d’offrir uniquement des avantages, n’est-il pas
temps, là aussi en dehors des diktats du marché,
d’examiner ensemble les nécessaires multiplicités
et complémentarités des sources pour assurer en
même temps l’indépendance énergétique de chaque
pays et sa contribution solidaire aux équilibres
communs ?
Les
signataires de cet Appel estiment que les problèmes
des approvisionnements, des échanges, des prix,
des coopérations, des consommations, de l’environnement
doivent être considérés dans leur globalité, de
façon plurielle et pluridisciplinaire. C’est pourquoi,
ils invitent les acteurs du mouvement syndical,
social et politique, tous les acteurs du monde
du travail et de la création à construire ensemble
une grande initiative pour : Faire le bilan de
la déréglementation du point de vue du développement
humain, Définir des propositions alternatives
qui répondent aux besoins réels, présents et prévisibles,
des femmes et des hommes du 21è siècle, Contribuer
à construire les rassemblements nécessaires pour
empêcher l’OMC d’intégrer l’Energie dans l’accord
strictement mercantile sur les services ; à avancer
vers des normes internationales d’échanges respectueuses
des droits de l’homme et des peuples, frères et
souverains.
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CGTEDF-GDF
L'ELECTRICITE,
LE GAZ UN DROIT POUR TOUS
INTERDICTION
DES COUPURES AUX PLUS DEMUNIS, AUX PRIVES D'EMPLOI
Suite
aux luttes de ces dernières années, des droits
doivent être obtenus en matière d'énergie. De
nouveau, la direction d'EDF s'attaque aux plus
démunis.
D'un
côté, il existe une loi contre l'exclusion, des
mesures sont prises en faveur des plus démunis,
on annonce la fin des coupures de gaz et d'électricité
; de l'autre, EDF/GDF fait du " fric " sur le
dos des usagers en difficulté.
En
effet, quoi qu'en disent les versions officielles,
le nombre de coupures pour impayés n'a quasiment
pas diminué. Pire encore, les frais de déplacement
occasionnés pour la coupure ou pour le rétablissement
de l'énergie, rapportent 250 F TTC pour chaque
client !
Ainsi,
au bout de trois coupures pour impayés, la direction
a gagné le salaire de l'agent, le reste est tout
bénéfice pour elle. Certains chefs d'agence n'hésitent
pas à afficher ainsi de bons résultats financiers.
C'EST
INTOLERABLE, INACCEPTABLE DE FAIRE DU FRIC SUR
LA MISERE.
Les
comités de chômeurs, les syndicats CGT demandent
qu'EDF/GDF redeviennent les véritables services
publics au service de la nation, de son peuple.
Ils
demandent :
l'interdiction
de toutes les coupures pour les usagers ayant
des difficultés financières, ou ayant perdu leur
emploi.
que
le Service Maintien de l'Energie ne se fasse pas
au-dessous de 3KVA (3300w),
la
suppression des frais de déplacement facturés
à l'occasion des coupures ou relances pour non
paiement,
qu'un
grand débat soit engagé sur les différentes taxes
sur l'électricité et leur usage,
que
les usagers en difficultés financières soient
considérés comme des usagers à part entière et
bénéficient d'un service public plus solidaire.
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Résistances
Electriques et Gazières
L'hypocrisie
mensongère des nouveaux dirigeants Face à la stratégie
impériale d'EDF, il existe une alternative radicalement
différente: pour un développement international
citoyen d'EDF et GDF! Conférence mondiale de l'énergie
en octobre à Buenos Aires.
Rien
de nouveau pour ces milliers de technocrates qui
se réunissent dans une nouvelle grand messe inutile
(sauf pour leurs voyages à l'œil)! Et voilà que
Roussely entonne à nouveau son couplet de chanteuse
de charme sur le développement durable, le développement
éthique et le droit à l'énergie, couplet déjà
connu et chanté par lui et son double, ce très
proche pompier de service, ce cher Wolf!
Quand
on les entend pour la première fois, ils sont
très convaincants, pour les gens de bonne foi
qui ne connaissent pas leurs actes! Mais si vous
considérez ce qu'ils font, alors, c'est tout autre
chose! Parce que, ces investissements de 110 milliards
de francs à l'étranger, en quoi font-ils reculer
la fracture énergétique du monde, avec un habitant
de la planète sur trois exclu de l'accès à l'électricité?
Toutes ces déclarations sur le droit à l'énergie,
ce n'est finalement que du bla-bla-bla destiné
à masquer une politique d'expansion mégalo!
Dans
ces conditions, nous nous étonnons du changement
d'attitude de la fédération CGT-EDF: A Nice, il
y a un an, grâce à un dialogue avec des ONG, l'association
Droit à l'Energie avait vu le jour, portant le
débat à la fois sur le droit à l'énergie en France,
et sur le droit à l'énergie dans les PVD. Avec
précisément un début de mise en débat de la proposition
d'un changement radical de la stratégie de développement
d'EDF et GDF, entreprises publiques appartenant
à la Nation.
Quel
développement alternatif à leur politique d'acquisition
impériale? Précisément, la conduite d'une stratégie
fondée sur la coopération avec les entreprises
électriques publiques des PVD, avec création de
filiales communes de distribution et de production
décentralisées d'électricité et de gaz, investissant,
avec les collectivités locales de ces pays, dans
l'extension de la desserte aux plus pauvres. Mise
à disposition de capitaux, mais aussi de coopération
technique avec formation de personnels locaux,
y compris dans les domaines de gestion et recouvrement
sans lesquels les électrifications ne peuvent
survivrent.
Dans
cette politique, EDF pourrait entraîner d'autres
entreprises de pays du Nord européenne ou nord
américaines et obtenir de grands appuis des institutions
financières internationales que l'accroissement
des inégalités inquiètent comme des menaces sur
la paix, presque partout . Voilà une autre politique
de développement pour EDF et GDF, proposée par
des ONG et que REG appuie de toutes ses forces!
Rien à voir avec la politique actuelle!
C'est
la question posée à la Fédé CGT: Droit à l'Energie
veut-elle poursuivre le débat sur cette politique
alternative?
Se
rend-elle compte qu'en ce moment le discours sur
le droit à l'énergie est complètement récupéré
par un bla-bla caution de la politique impériale
de Roussely ?
Camarades,
soyez conséquents, il est temps d'en revenir au
projet d'il y a un an. Sinon vous allez continuer
à alimenter les accusations de vos ennemis qui
affirment que vous soutenez désormais Roussely
et sa politique en échange de la tranquillité
de vos permanents du syndicat et de la CCAS, affirmations
que REG combat fermement! Alors nous comptons
sur une relance autonome de Droit à l'Energie,
en écartant la récupération-caution au profit
de Roussely! Et REG ne manquera pas de s'en faire
l'écho!
Résistances
Electriques et Gazières
Nous
vous devons plus que la langue de bois
C/o
Association Internationale de Techniciens,
Experts et Chercheurs
21
ter rue Voltaire -............
75 011 PARIS
Tél.
: (33) 01 43 71 22 22 - Fax : (33) 01 44
64 74 55
Courriel
:
aitec@globenet.org
|
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Ac!
pays Basque
PRECARITE
ET DROIT A L'ENERGIE
La
recente loi contre l'exclusion, bien qu'insuffisente,
garantit un droit minimum aux service EDF-GDF
et l'acces de principe au téléphone.
Texto, la loi stipule :
"toute personne, ou sa famille,rencontrant
des difficulttés du fait d'une situation de précarité
à droit à une aide de la collectivité pour accéder
ou pour préserver son accès à une fourniture d'eau,
d'énergie et de service téléphonies" (loi
98-657 art.136 du29/07/98).Les commisions départementales
doivent en principe fonctionner pour distribuer
les aides, après examen des dossiers.
Le Fond Social Energie des Pyrénées Atlantiques
accorde une aide (le plus souvent partielle) à
condition de se mensualiser. Comment peut on s'engager
sérieusement à régler un montant,souvent élevé,
quand les indemnités de l'ASSEDIC baissent de
17% tous les 6 mois, ou que l'on survie avec les
minimas sociaux.
STOP
AU CHANTAGE !
Pas
de mensualisation = aide refusée = accroissement
de la dette
Pas de mensualisation =diminution de puissance,
dans un premier temps, puis coupure.
FOND
ENERGIE EDF-GDF : 0-800-77-55-11 (appel gratuit)
Contrairement
à ce qui est généralement annoncé, le Fond Energie
peut etre attribué plusieurs fois dans l'année
à un meme usager et sans obligation de mensualisation.
Il est également accordé pour régler les factures
d'eau pour les personnes en difficultés (se renseigner
auprés de son assistante sociale)
EDF-GDF
NOUS DOIT PLUS QUE LA MISERE
Jetez
un coup d'oeil sur votre dernière facture d'electricité
; on vous fait payer au prix fort une énergie
que vous n'avez pas forcément choisit. Vous payez
des taxes locales sur cette énergie (8% municipale
et 4 % départementale), puis la TVA au taux le
plus elevé (19,6%) sur ces meme taxes.
C'EST
DU RACKET !
Surtout
si votre activité,
votre existence ou celle de votre famille en dépend
Surtout
si vous appartenez à ces millions de
ménages français (plus de 15%) qui survivent grâce
au minima sociaux
Surtout
si vous essayer de maintenir une activité
indépendante nécessitant une consommation d'énergie
Surtout
si vous galèrez dans des emplois précaires
sans revenu décent.
Surtout
si vous ne disposez que d'un chauffage
électrique imposé, dans un logement sans isolation.
Vous
ne voulez plus payer à un prix démentiel
une énergie qui vous est vitale, ni mendier ce
qui vous revient de droit, auprès des organismes
sociaux (FSE, CAF, CCAS, ect...), ni vous infliger
de plus en plus de privations.
Vous
en avez assez des surfacturations injustifiées
qui vous punissent de ne pas être assez riches
pour pouvoir loger ailleurs que dans des appart
insalubres hors normes.
Vous
ne supportez plus, après une vie de labeur
et une toute petite retraite, de devoir vous imposez
ces restrictions.
ENSEMBLE,
EXIGEONS D'EDF-GDF ET DU GOUVERNEMENT
- l'annulation
des dettes des personnes en difficultés
- la
suspension de toute coupure et des restrictions
d'énergie pour cause de pauvreté
- la
mise en place d'un tarif social qui permettrait
aux plus nécessiteux de régler leur facture.
- la
réduction des taxes sur l'énergie de 19,6% à
5,5% comme tout produit de première nécessité
(la TVA sur l'abonnement a été ramenée à 5.5%,
pas la& consommation).
- la
suppression de la part des taxes locales.
- le
maintien et le renforcement
du service public
CONTACTEZ
NOUS !
permanence
énergie.......... les vendredis de 10h à
12h
Ac!
pays Basque
11,rue
Pannecau 64100 Bayonne
tel/fax
: 05 59 257 962 Portable : 06 14 587 454
Email
: AC.PAYS.BASQUE@wanadoo.fr
PERMANENCE
: LUNDI 14H / 17H ............ MERCREDI
17H / 18H30 ............ VENDREDI 9H/12H
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