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ACTION ENERGIE

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Collectif d'Action Contre le Chômage d'Alès et des Cévennes

750 Rte de La Royale ....30100 Alès...Tel et fax .....04.66.55.82.26

 

 

 

 

 









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janvier 2002




 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

...Ci-dessous des textes sur l'energie venant de différentes organisations (collectifs de chômeurs et précaires, syndicats, association de droits de l'homme, associations de lutte contre l'exclusion etc. Ainsi que des extraits de presse sur le sujet.Si vous aussi avez déjà fait des appels, tracts, communiqués de presse, affiches etc.. vous pouvez nous les faire parvenir. Nous les mettrons sur cette page ou les suivantes. Une chose est certaine, pour gagner, nous devons créer une:

COORDINATION NATIONALE POUR LE DROIT A L'ENERGIE

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AC! Rhône :

Hiver 98-99 :

un début d'accord… Il y a un an, l'action des Collectifs de Chômeurs et Précaires, soutenue par les salariés d'EDF, avait permis de stopper les coupures d'électricité aux plus démunis. La Direction Régionale d'EDF s'y était engagée, en développant le dialogue avec les intéressés et la recherche d'une solution impliquant les organismes d'aide sociale. Le Service Minimum d'Energie avait été augmenté de 1 000 watts à 3 000 watts. Par contre, aucune avancée n'avait été obtenue sur une tarification sociale en faveur des précaires.

…non respecté : EDF a repris les coupures !

Cette année, si les chiffres officiels du chômage reculent, c'est en grande partie à cause du développement de la précarité des emplois, et donc des conditions de vie. Le nombre des précaires augmente, et ceux et celles qui s'y enfoncent ont de plus en plus de difficultés à faire face aux factures : comment consacrer 10% de son budget à payer gaz et électricité quand on n'a que 2 500 F par mois ?

D'autant que l'aide sociale ne suit pas. La Commission d'Aide Sociale d'Urgence (CASU) ne fonctionne pas réellement. Les moyens des organismes d'aides d'urgence (Maisons du Département, CCAS…) n'ont pas évolué en fonction des besoins ; à tel point que désormais l'aide " d'urgence " est contingentée : à Lyon, pas plus d'une aide par an, et seulement si vous ne touchez pas plus que le RMI, avec au minimum un enfant ou si vous avez des factures impayées ! L'aide d'urgence des ASSEDIC a disparu. Quant au FAIME (Fonds d'Aide aux Impayés et Maîtrise d'Energie), alimenté en partie par EDF, il est épuisé depuis fin avril 99, et n'a pas été réactivé. Les impayés d'Energie ont donc continué à augmenter.

Dans ces conditions, il est inadmissible que la seule " solution " qu'ait trouvé EDF soit de reprendre l'escalade et l'exécution des menaces : relances, installation (facturée 242 F !) d'un compteur à 1 000 watts (à peine de quoi s'éclairer), injonction de se débrouiller avec des Services Sociaux souvent impuissants, et finalement coupures. Une dette de 600 F peut déclencher le processus.

Droit à l'Energie pour tous, EDF, s'il est encore un Service Public, doit y contribuer :

Tarif social pour les précaires : s'il existe quelques " mauvais payeurs " (les travailleurs sociaux peuvent les détecter), la très grande majorité des endettés ne peut pas payer. Les plus démunis tentent d'éponger une dette (électricité…) en en augmentant une autre (logement…). Devant l'absence tragique de moyens d'urgence, les travailleurs sociaux eux-mêmes encouragent à remplir des dossiers en fonction du guichet où ils pensent pouvoir trouver momentanément de l'argent .

Une vraie solution : l'instauration d'un tarif social pour les précaires :

Gratuité et effacement des dettes pour les plus démunis Accès gratuit au réseau, suppression des abonnements, tarif réduit en fonction de la précarité des revenus.

Le " manque à gagner " pour EDF paraît dérisoire :

EDF réalise 250 milliard F de chiffre d'affaires annuel. Faut-il aussi rappeler : qu'EDF a versé, jusqu'en 1996, l'équivalent de 1% de son chiffre d'affaires annuel (soit de l'ordre de 2 milliards F en 96) aux anciens actionnaires des compagnies privées qui ont été nationalisées en 1946 ? pourquoi ne pas avoir reversé cet argent aux précaires ? qu'EDF contribue pour 30% (soit 60 millions F) au budget du FAIME (le Fonds des impayés), le reste étant fourni par différents guichets d'aide sociale. EDF récupère ainsi la quasi-totalité de l'argent dû par les précaires, donc non seulement sa mise (60 millions F), mais aussi celle de l'aide sociale (sans parler des frais de coupure), soit au total plus de 200 millions F !

Et puis, un Service Public ne doit-il pas participer à la solidarité nationale ?!

TVA réduite sur Gaz et Electricité : L'énergie est un produit de première nécessité. Il est inconcevable qu'elle puisse être taxée au plus haut niveau (22%). La preuve en est la baisse récente de l'abonnement à 5,5%. Pourquoi l'abonnement, et pas la consommation ? Nous réclamons la baisse à 5,5%, voire la suppression, de la TVA appliquée à l'énergie domestique. Nous demandons de même la suppression des taxes locales sur la consommation d'énergie (taxes au bénéfice des Communes et du Département). L'argent manquant doit être compensé par une augmentation de la dotation globale de l'Etat, en particulier en faveur des Communes pauvres. Suppression des coupures : Conformément au préambule de notre Constitution, le droit à l'énergie devrait être un droit fondamental reconnu comme tel. Son interdiction ne peut être qu'un ultime recours contre une mauvaise foi et un comportement anti-social délibérés. En aucun cas nous ne pouvons admettre qu'une personne soit privée d'électricité parce qu'elle ne peut pas momentanément la payer.

Nous demandons qu'EDF respecte son engagement de l'année dernière, et arrête la pratique des coupures.

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Si vous avez des dettes d'électricité, si EDF vous a imposé un compteur à énergie réduite (1000 watts), si vous êtes menacés de coupures, si vous avez été coupés :

CONTACTEZ NOUS POUR AGIR ENSEMBLE avec l'ensemble des chômeurs et précaires, auprès de la Direction Régionale d'EDF

Passez nous voir à nos permanences : nous organiserons les actions nécessaires ensemble.

AC! Rhône : 37 cours de la République à Villeurbanne 04 78 84 38 51

Permanences mardi de 15h à 20 h.

N° d'URGENCE en cas de coupure imminente :

06.15.85.09.72 - 04.78.84.38.51

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Octobre (19) 2000 -

Appel pour un droit à l'énergie

APPEL

Tels l’air et l’eau, l’énergie est indispensable à la vie dans tous ses aspects. On en convient universellement. C’est pourquoi, elle doit être un droit fondamental pour chaque individu, celui de disposer tout au long de son existence des sources d’énergie adéquates. C’est pourquoi, elle induit aussi un devoir, celui de la garantir en quantité et en qualité aux générations futures, avec les moyens techniques les plus efficaces pour en maîtriser les effets sur l’environnement.

Qu’en est-il pourtant de ce droit dans le monde au regard du développement humain, après trois décennies de déréglementation plus ou moins rapide ou complète, mais dominante ? Les évolutions énergétiques ont-elles accompagné positivement les évolutions démographiques, migratoires, sanitaires, alimentaires, culturelles, environnementales ? Ont-elles aidé aux coopérations, à faire reculer la pauvreté, les injustices, les inégalités, le nombre de conflits et de guerres dont elles sont une cause majeure ? En relation avec l’ensemble de ces préoccupations contemporaines, tous les indicateurs statistiques internationaux montrent que le droit à l’énergie, avec son effet moteur pour le développement, n’a pas progressé.

En cette année 2000, où l’humanité sait qu’elle dispose des connaissances et des techniques suffisantes pour satisfaire ses besoins essentiels, on vit plus mal qu’il y a trente ans dans plus d’une centaine de pays et deux milliards de personnes ne disposent toujours que de bois de chauffe pour unique source d’énergie. Les disparités, les injustices et les inégalités entre pays riches et pauvres et dans chacun d’eux se sont considérablement aggravées. Le développement de quelques-uns ne peut plus assurer le développement de tous, fusse de façon inégale. La paix n’y a rien gagné.

Parallèlement à la mise en place de la déréglementation, on peut constater géographiquement de façon nette le développement des replis identitaires, des intégrismes ethniques et religieux, la multiplication des conflits et des guerres. Mais au-delà des données disponibles, un bilan plus complet, social, économique, politique, éthique, de la déréglementation reste à faire. C’est la condition pour affronter des questions qui se posent déjà avec force et qui sont autant de défis.

A la lumière de l’expérience, faut-il abandonner au marché seul – et donc aux sociétés multinationales – la régulation de l’offre et de la demande énergétique entre les pays et au plan individuel ? Le rôle des états, comme expression démocratique des peuples, ne demeure-t-il pas indispensable pour assurer l’intérêt général, l’équité, la justice, la solidarité, particulièrement envers les pays pauvres qui semblent de fait condamnés par les plus riches à pratiquer une " sobriété énergétique " irréversible.

La recherche obsédante du profit maximal dans le délai le plus court, qui est la règle du marché, conduit actuellement à l’utilisation abusive du pétrole, et surtout du gaz, qui sont un patrimoine épuisable de l’humanité. N’est-il pas temps de rechercher ensemble des voies nouvelles qui tiennent compte, dans la transparence, des contraintes de temps liées nécessairement en matière d’énergie, aux infrastructures, à la production, à la consommation, au respect de notre planète, pour mieux appréhender les évolutions prévisibles des besoins ?

Par ailleurs, aucune filière énergétique n’étant susceptible d’offrir uniquement des avantages, n’est-il pas temps, là aussi en dehors des diktats du marché, d’examiner ensemble les nécessaires multiplicités et complémentarités des sources pour assurer en même temps l’indépendance énergétique de chaque pays et sa contribution solidaire aux équilibres communs ?

Les signataires de cet Appel estiment que les problèmes des approvisionnements, des échanges, des prix, des coopérations, des consommations, de l’environnement doivent être considérés dans leur globalité, de façon plurielle et pluridisciplinaire. C’est pourquoi, ils invitent les acteurs du mouvement syndical, social et politique, tous les acteurs du monde du travail et de la création à construire ensemble une grande initiative pour : Faire le bilan de la déréglementation du point de vue du développement humain, Définir des propositions alternatives qui répondent aux besoins réels, présents et prévisibles, des femmes et des hommes du 21è siècle, Contribuer à construire les rassemblements nécessaires pour empêcher l’OMC d’intégrer l’Energie dans l’accord strictement mercantile sur les services ; à avancer vers des normes internationales d’échanges respectueuses des droits de l’homme et des peuples, frères et souverains.

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CGTEDF-GDF

L'ELECTRICITE, LE GAZ UN DROIT POUR TOUS

INTERDICTION DES COUPURES AUX PLUS DEMUNIS, AUX PRIVES D'EMPLOI

Suite aux luttes de ces dernières années, des droits doivent être obtenus en matière d'énergie. De nouveau, la direction d'EDF s'attaque aux plus démunis.

D'un côté, il existe une loi contre l'exclusion, des mesures sont prises en faveur des plus démunis, on annonce la fin des coupures de gaz et d'électricité ; de l'autre, EDF/GDF fait du " fric " sur le dos des usagers en difficulté.

En effet, quoi qu'en disent les versions officielles, le nombre de coupures pour impayés n'a quasiment pas diminué. Pire encore, les frais de déplacement occasionnés pour la coupure ou pour le rétablissement de l'énergie, rapportent 250 F TTC pour chaque client !

Ainsi, au bout de trois coupures pour impayés, la direction a gagné le salaire de l'agent, le reste est tout bénéfice pour elle. Certains chefs d'agence n'hésitent pas à afficher ainsi de bons résultats financiers.

C'EST INTOLERABLE, INACCEPTABLE DE FAIRE DU FRIC SUR LA MISERE.

Les comités de chômeurs, les syndicats CGT demandent qu'EDF/GDF redeviennent les véritables services publics au service de la nation, de son peuple.

Ils demandent :

l'interdiction de toutes les coupures pour les usagers ayant des difficultés financières, ou ayant perdu leur emploi.

que le Service Maintien de l'Energie ne se fasse pas au-dessous de 3KVA (3300w),

la suppression des frais de déplacement facturés à l'occasion des coupures ou relances pour non paiement,

qu'un grand débat soit engagé sur les différentes taxes sur l'électricité et leur usage,

que les usagers en difficultés financières soient considérés comme des usagers à part entière et bénéficient d'un service public plus solidaire.

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Résistances Electriques et Gazières

L'hypocrisie mensongère des nouveaux dirigeants Face à la stratégie impériale d'EDF, il existe une alternative radicalement différente: pour un développement international citoyen d'EDF et GDF! Conférence mondiale de l'énergie en octobre à Buenos Aires.

Rien de nouveau pour ces milliers de technocrates qui se réunissent dans une nouvelle grand messe inutile (sauf pour leurs voyages à l'œil)! Et voilà que Roussely entonne à nouveau son couplet de chanteuse de charme sur le développement durable, le développement éthique et le droit à l'énergie, couplet déjà connu et chanté par lui et son double, ce très proche pompier de service, ce cher Wolf!

Quand on les entend pour la première fois, ils sont très convaincants, pour les gens de bonne foi qui ne connaissent pas leurs actes! Mais si vous considérez ce qu'ils font, alors, c'est tout autre chose! Parce que, ces investissements de 110 milliards de francs à l'étranger, en quoi font-ils reculer la fracture énergétique du monde, avec un habitant de la planète sur trois exclu de l'accès à l'électricité? Toutes ces déclarations sur le droit à l'énergie, ce n'est finalement que du bla-bla-bla destiné à masquer une politique d'expansion mégalo!

Dans ces conditions, nous nous étonnons du changement d'attitude de la fédération CGT-EDF: A Nice, il y a un an, grâce à un dialogue avec des ONG, l'association Droit à l'Energie avait vu le jour, portant le débat à la fois sur le droit à l'énergie en France, et sur le droit à l'énergie dans les PVD. Avec précisément un début de mise en débat de la proposition d'un changement radical de la stratégie de développement d'EDF et GDF, entreprises publiques appartenant à la Nation.

Quel développement alternatif à leur politique d'acquisition impériale? Précisément, la conduite d'une stratégie fondée sur la coopération avec les entreprises électriques publiques des PVD, avec création de filiales communes de distribution et de production décentralisées d'électricité et de gaz, investissant, avec les collectivités locales de ces pays, dans l'extension de la desserte aux plus pauvres. Mise à disposition de capitaux, mais aussi de coopération technique avec formation de personnels locaux, y compris dans les domaines de gestion et recouvrement sans lesquels les électrifications ne peuvent survivrent.

Dans cette politique, EDF pourrait entraîner d'autres entreprises de pays du Nord européenne ou nord américaines et obtenir de grands appuis des institutions financières internationales que l'accroissement des inégalités inquiètent comme des menaces sur la paix, presque partout . Voilà une autre politique de développement pour EDF et GDF, proposée par des ONG et que REG appuie de toutes ses forces! Rien à voir avec la politique actuelle!

C'est la question posée à la Fédé CGT: Droit à l'Energie veut-elle poursuivre le débat sur cette politique alternative?

Se rend-elle compte qu'en ce moment le discours sur le droit à l'énergie est complètement récupéré par un bla-bla caution de la politique impériale de Roussely ?

Camarades, soyez conséquents, il est temps d'en revenir au projet d'il y a un an. Sinon vous allez continuer à alimenter les accusations de vos ennemis qui affirment que vous soutenez désormais Roussely et sa politique en échange de la tranquillité de vos permanents du syndicat et de la CCAS, affirmations que REG combat fermement! Alors nous comptons sur une relance autonome de Droit à l'Energie, en écartant la récupération-caution au profit de Roussely! Et REG ne manquera pas de s'en faire l'écho!

Résistances Electriques et Gazières

Nous vous devons plus que la langue de bois

C/o Association Internationale de Techniciens, Experts et Chercheurs

21 ter rue Voltaire -............ 75 011 PARIS

Tél. : (33) 01 43 71 22 22 - Fax : (33) 01 44 64 74 55

Courriel : aitec@globenet.org

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Ac! pays Basque

PRECARITE ET DROIT A L'ENERGIE

La recente loi contre l'exclusion, bien qu'insuffisente, garantit un droit minimum aux service EDF-GDF et l'acces de principe au téléphone.
Texto, la loi stipule :
"toute personne, ou sa famille,rencontrant des difficulttés du fait d'une situation de précarité à droit à une aide de la collectivité pour accéder ou pour préserver son accès à une fourniture d'eau, d'énergie et de service téléphonies" (loi 98-657 art.136 du29/07/98).Les commisions départementales doivent en principe fonctionner pour distribuer les aides, après examen des dossiers.
Le Fond Social Energie des Pyrénées Atlantiques accorde une aide (le plus souvent partielle) à condition de se mensualiser. Comment peut on s'engager sérieusement à régler un montant,souvent élevé, quand les indemnités de l'ASSEDIC baissent de 17% tous les 6 mois, ou que l'on survie avec les minimas sociaux.

STOP AU CHANTAGE !

Pas de mensualisation = aide refusée = accroissement de la dette
Pas de mensualisation =diminution de puissance, dans un premier temps, puis coupure.

FOND ENERGIE EDF-GDF : 0-800-77-55-11 (appel gratuit)

Contrairement à ce qui est généralement annoncé, le Fond Energie peut etre attribué plusieurs fois dans l'année à un meme usager et sans obligation de mensualisation. Il est également accordé pour régler les factures d'eau pour les personnes en difficultés (se renseigner auprés de son assistante sociale)

EDF-GDF NOUS DOIT PLUS QUE LA MISERE

Jetez un coup d'oeil sur votre dernière facture d'electricité ; on vous fait payer au prix fort une énergie que vous n'avez pas forcément choisit. Vous payez des taxes locales sur cette énergie (8% municipale et 4 % départementale), puis la TVA au taux le plus elevé (19,6%) sur ces meme taxes.

C'EST DU RACKET !

Surtout si votre activité, votre existence ou celle de votre famille en dépend

Surtout si vous appartenez à ces millions de ménages français (plus de 15%) qui survivent grâce au minima sociaux

Surtout si vous essayer de maintenir une activité indépendante nécessitant une consommation d'énergie

Surtout si vous galèrez dans des emplois précaires sans revenu décent.

Surtout si vous ne disposez que d'un chauffage électrique imposé, dans un logement sans isolation.

Vous ne voulez plus payer à un prix démentiel une énergie qui vous est vitale, ni mendier ce qui vous revient de droit, auprès des organismes sociaux (FSE, CAF, CCAS, ect...), ni vous infliger de plus en plus de privations.

Vous en avez assez des surfacturations injustifiées qui vous punissent de ne pas être assez riches pour pouvoir loger ailleurs que dans des appart insalubres hors normes.

Vous ne supportez plus, après une vie de labeur et une toute petite retraite, de devoir vous imposez ces restrictions.

ENSEMBLE, EXIGEONS D'EDF-GDF ET DU GOUVERNEMENT

  • l'annulation des dettes des personnes en difficultés
  • la suspension de toute coupure et des restrictions d'énergie pour cause de pauvreté
  • la mise en place d'un tarif social qui permettrait aux plus nécessiteux de régler leur facture.
  • la réduction des taxes sur l'énergie de 19,6% à 5,5% comme tout produit de première nécessité (la TVA sur l'abonnement a été ramenée à 5.5%, pas la& consommation).
  • la suppression de la part des taxes locales.
  • le maintien et le renforcement du service public

CONTACTEZ NOUS !

permanence énergie.......... les vendredis de 10h à 12h

Ac! pays Basque

11,rue Pannecau 64100 Bayonne

tel/fax : 05 59 257 962 Portable : 06 14 587 454

Email : AC.PAYS.BASQUE@wanadoo.fr

PERMANENCE : LUNDI 14H / 17H ............ MERCREDI 17H / 18H30 ............ VENDREDI 9H/12H

  action énergie (page 3)

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